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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 16:20

Help! Disais-je, en commençant ce blog; je ne me rappele ni comment ,ni pouquoi j'ai commencé à écrire ce journal internet. J'écris beaucoup, j'ai des cahiers partout, des écrits sur ordi, mais sur le net, non.

J'ai honte de me dévoiler, c'est assez difficile de dévoiler sa vie et ses émotions aux autres: de plus, je le fais de façon brutale, d'un premier jet. Je ne me soucie pâs de mon taux de notoriété, j'espère même que peu de gens me liront.

 

C'est comme un exercice de confiance en moi. Alors quand des gens comme Leslie, Betty, et plein d'autres m'ont poussée, que j'ai pu publier sur twitter, car ça me semble plus anonyme que facebook! Je distille......

 

Je me rapellerai toujours de Ttirrit, lors d'un barbecue dans le jardin de Prax, me regardant méchamment et me faisant promettre de ne plus jamais effacer mes textes le lendema00 en brouillonnin, en m'affirmant que ce que j'écrivais était important....Excusde moi, j'ai effacé un texte, j'en ai plus de 100 en brouillon.....Et je suis contente que l'on ait pensé l'un à l'autre ces 2 dernières années!

 

Alors, quand j'ai commencé ce blog, je me suis intéressée aux blogs locaux, et j'ai remarqué celui du carnet bayonnais.

J'ai commencé à lire les blogs des uns et des autres, "crudités et fleurs bleues", "barnaltedik", , "je hais le preintemps", "le plébéien bleu", et j'ai su qu'ils se réunissaient une fois par mois à l'Atalante. Prax m'a invitée à une rencontre, j'y suis allée, toute timide, et là, ça va; ça vient, on se voit ou pas, mais l'amitié reste, et moi, je suis revenue dans la société.....

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 15:08

Il me faudrait des pages et des pages pour décrire ce que j'ai vécu pendant 2 ans, pendant lesquels j'ai perdu à peu près tout, mes enfant,s, ma famille, mon travail, ma maison. Enfin, presque. J'avais une soupape de sécurité, et j'ai réussi à tout garder mais au bout d'une lutte dont je suis (heureusement ) coutumière et à l'aide d'un ami extérieur et d'une infirmière comportementaliste.

 

J'ai repensé à lui en revenant du supermarché voisin à pied.

 

Le matin, dès 7h, il réclamait sa dose d'alcool, j'attendais 9 heures pour aller lui acheter ce qu'il appelait "une touque", 5 litres de vin infâme consitionn dans un semblant de tonneau en plastique, facturé 5 euros. Il soulevait régulièrement le récipient pour en jauger le contenant et m'envoyer en chercher une autre quand le niveau baissait.

Evidemment, nous n'avions plus de voiture. Ni de mobilier. 2 fauteuils, une table basse et une télé, un matelas pour dormir.

Un décor dont nous bougions rarement, car dès que nous faisions un pas dehors, monsieur faisait ce qu'il appelait un malaise vagal, s'écroulait. Une fois l'ambulance arrivée, il demandait à faire sonner les sirènes et rigolait.

 

Il me portait aux nues, m'aimait plus que tout, puis me dénigrait, insultait ma famille, m'en coupait.

 

Il était très intelligent, plein d'humour.

Ce qui m'avait attirée chez lui était son côté droit. J'étais dans une passe difficile à ce moment là, harcelée par un collègue, seule avec des enfants qui vivaient des situations difficiles. Il m'a assuré de son soutien.

 

Il s'est empressé de s'installer chez moi. Et là, j'ai vu qu'il fuyait les huissiers, était endetté.

Il a vite commencé à me taper et me maltraiter devant mes enfants, qui ont porté plainte et sont partis.

 

Personne n'a compris que je ne le quitte pas de suite.

Mon frère me le reproche toujours.

 

Je n'ai pas compris non plus, je ne l'ai pas voulu, car j'avais peur et que j'étais trop faible. (j'avais pourtant le livre de Marie-France Hirigoyen, donné par le seul ami qui me restait, un ex manipulateur, donc je ne l'ai pas lu. J'ai fait une grosse dépression et ai fait de nombreux séjours à l'hoptal. Il venait m'y voir déguisé avec un peignoir blanc, disant qu'il était docteur (il n'avait pas le droit de me voir).

Bi polaire et pervers manipulateur, il m'avait prise dans sa toile, comme il en avait pris une autre avant. La pauvre ne s'en est pas remise.

 

Ces deux ans ont été un enfer, ils me paraissent une éternité, alors que les années passées depuis me semblent courtes.

 

C'est l'un de ses délires qui m'a permis de couper court: il voulait m'offrir à un autre homme, a cherché et est tombé sur un homme qui a vite vu la situation et m'a kidnappée en week-end et m'a déconditionnée, comme cela se fait quand l'on sort d'une secte.

 

Voilà! Je suis allée à pied à Lidl, quoi.....Après avoir lu un article sur kristina qui parlait du fait que Cantat lui tapait dessus et qui expliquait son témoignage envers lui par un "j'avais peur". J'aurais pu me suicider aussi.

Mon affaire est arrivée en même temps que celle de Marie Trintignant, et, faisant le parallèle, il me disait qu'il n'était pas dans ce cas et me donnait encore plus de coups.

 

Depuis que je l'ai viré, je vais mieux, mais je me suis dit que je me méfierai de l'amour, et je suis retombée amoureuse, ça a duré 2 ans aussi, un amour à distance. Là, pas assez de nouvelles et une rupture sans en être, juste un blocage de facebook et aucune explication.

2 ans de merde de plus, alorss franchement......je ne sais pas si j'arriverai à réparer mon coeur brisé.....link

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 22:39

Hakim a la générosité et k'humour en lui. L'amour des gens. Je ne connaissais pas son travail avant de le rencontrerr mais il m'avait déjà touchée via ses publications sur facebook, et, par la suiten dans son engagement dans son parrainage pour l'association Euskal Herria Morocco. J'ai eu le plaisir de le rencontrer, et le dialogue a été riche.

Les films de Hakim sont censurés, plus ou moins, et ce n'est pas normal, il représente une bone partie des marocains, qui n'ont pas leur mot à dire! Penchez vous un peu sur sa filmographue, il y a tout, philosphie et humour:

 

http://www.maghress.com/fr/albayane/115763link

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 20:56

Le physique des hommes m'a toujours peu impoté. Je suis séduite par le charme, l'intelligence, ce qui se dégage d'un homme.   J'ai vécu avec des hommes beaux, l'un m'a donné de superbes enfants. J'ai eu des aventures avec d'autres, dont des beaux. J'ai été avec des tout cassés, mais qui étaient superbes au lit, attentifs, fabuleux. D'autres, jeunes et timides, respectueux, parfois trop.

Parfois, quadn j'en ai vu certains, Ie me sui dit "Il est trorp moche, il n'en est pas question", et je me suis retrouvée vacillante sous des caresses maîtresses.

 

J'ai trouvé la perle rare, celle avec qui je me  sens bien, qui me fait vibrer, avec qui j(ai plein de points en commun. Mais elle est loin. Et, du jour au lendemain, m'a zappée, sans me donner d'explication.

 

Je suis tombée ce matin sur un article concernant Montaigne: Chauve, velu, petit, il jouissait de la vie au temps présent et avait de nombreuses maîtresses.

Mon Apollon n'avait qu'une envie, se payer le fantasme d'une franaise.  Beau affuté, connu, mais d'un certain âge et célibataire, il m'a fait croire qu'il m'aimait, s'est payé quelques fantasmes et quand je lui ai dit que j'étais amoureuse, a lâché l'affaire.

 

Vieux beau, connu, c'est sur qu'il a le profil du mec vers lequel on plonge bêtement. Bien fourni à tous les niveaux, mais qui ne donne que ce qu'il a, du néant.a65f623366346f09453ce404e925bfa2.jpg

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 20:47

Mon anniversaire approche. J'approche de la cinquantaine, et cela me pose question. Comme tout un chacun, le temps qui passe m'angoisse, je me vois vieillir:; mais je redécouvre aussi mon adolescence.

 

J'ai l'impression d'avoir été kidnappée par la vie. Une enfance lourde, éparpillée, loin de ma vraie famille, une sorte de canard boiteux.

Une vie de femme marquée par des dépressions précoces, une maladie de rein qui a failli me faire la vie plusieurs fois.

Il en a découlé des catastrophes accumulées, car, ayant été élevée dans des valeurs judeo-chrétiennes, j'ai cédé au mariage/ enfant à 20 ans, alors que j'étais journaliste radio, vivante, voyageuse, aventurière.....Je me suis éteinte durant dix ans, m'occupant de ma famille, étant brimée par les hommes successifs de ma vie.

Le père de mes enfants était un musulman caché, le second un pervers sexuel, le troisième un pervers narcissique, le 4ème.....D'accord, il y en a eu beaucoup!

 

Je laisse;tomber l'affaire, après deux ans d'arrêt maladie pour cause de mec qui est tout ce qu'il faut fuir et qui a failli me faire tout perdre: maison, enfants, famille, boulot. Pour me protéger juridiquement, j'ai eu une étincelle et me suis mise à couvert, mais ça a été vaches maigres.

 

Entre temps; j'ai passé le concours pour avoir un meilleur boulot, je l'ai eu, mais comme j'étais en arrêt, il n'a plus été valable. Et là, je l'ai repassé plusieurs fois, je n'ai plus aucune chance. (Ce qu'il y a de bien, c'est que je suis pas imposable, que mo,n fils a des bourses, et que je bénéficie d'aides pour des réfections de mon logement. ceci dit, il faut avir le fric à la base)

 

Ensuite, il y a eu; comme ça, le coup de foudre avec H. L'amour, l'osmose avec cet intellectuel marocain célibataire! Des séjours idylliques, la tête dans les étoiles, le coeur en émoi, la communication de pensée instantanée.

mais: "si il ne donne pas de nouvelle, c'est qu'il a une mauvaise connexion" ou: ça côute trop cher de téléphoner du Maroc (alors que je lui téléphonais régulièrement)

 

Cela me dérande un peu que l'on dise de moi "une dame" et que je travaille au Bureau Information Jeunesse, que je me fasse damer le pion par une jeune. Mais j'ai essayé de faire bouger, ça ne bouge pas. Elle l'a compris, aussi, nous devons nous conteznter de notre job; qui est patfois super intéressant et dans lequel nous sommes assez indépendantes.

 

Je m'éclate quand je vais au Maroc et que je vois mes petits loulous, que j'avance avec eux et pour eux. Ce n'est qu'une étincelle, mais elle est utile. Je fais cela au quotidien ici; c'est à dire partout où je suis.

 

Je fais des projets à côté, je m'éclate en faisant la fête avec mes amis, de façon plus amusante et moins alcoolisée que durant ma jeunesse. Je vois la vie du bon, côté. J'en profite.

J-ai des amis de coeur; et ; de toutes fazçons, je me suffis à moi même.

Disons que, enfin, je m'autorise à bouger, vor des gens, me secouer en toute sérénité! Il y a eu le rendez vous des bloggueyrs, mais j'ai du mal à bouger, là, ça a l'air d'aller! Enfin!

Tout cela pour dire que pour touver un mode qui vous va bien, c'est compliqué, il faudrait 150 ans!

Et je pense qu'à l'aube de mes 50 ans, je trouve enfin la séréité (Je pensais mourir avant 33 ans)

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 18:27

Je saurais gré aux personnes bien nées de ne pas me critiquer:  élevées en écoles privées, ayant été séparées de l'ivraie dès le premierr biberon, certaines personnes tournent parfois mal:

-Il y a la tête à claques jamais contente.Ce qui résume les autres catégories de boulet. Si l'on râlait et manifestait à bon escient, ça rapporterait plus! Le tout et n'importe quoi tout le temps, ça tue la lutte!

 Bref, la folie des grandeurs n'estt pas faite de luxe, car je ne vois pas bien à quoi ça sert; luxe ou pas, nous sommes dans la même galère.

 

Certains se vautret dedans, crachant à la face du monde leur manque de respect envers l'humanité, qui, en général, est pauvre, souffre, et est oubliée par des gens qui pourraient  simplement se renseigner sur la population qui survit sur la planète terre.

 

Ils s'engraissent sur la peau de la plèbe, profitant de son labeur....

 

Et  la plèbe ert scellée par  mes impôts et la police.

 

MAIS ON S'EN FOUT!

 

J'ai rencontré des gens super, pasionnés par leur vie! 

J'ai commencé l liste; c'est long......

Il y a ceux qui sont là, friqués ou pas, mais qui agissent au quotidien, sans se mettre en avant....Gora pour eux!

Il y a cet ami, qui a eznoncé à la plupart de son héritage pour vivre seulement avec ce dont il a besoin. Il a tout donné à son fils, lequel n'a pas forcémént sa force de spiritualité....

 

J'ai invité chez moi un ami facebook.....on s'est balladé........et on a fête le nouvel an ensemble! Bonne année les amis!P1050913.JPG

 

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 22:29

Tous les matins, je renais à la vie comme tout un chacun. J'essaie parfois d'y mettre des artifices quand je trouve que rien ne me sourit trop, et j'exprime sans artifice quand il me semble que tout me sourit.

Mais il me faut juste le ton, très vite donné; Les couleurs de l'automne, une conversation dans le bus, une jolie vue en raversant le pont, des services rendus aux usagers, et je vois la vie.

 

J'ai mes crises d'angoisse et mes problèmes, et je pense que je cache les soucis dans une sorte de frénésie ou d'anéentissement, tot dépznd de ce qui me plaît ou pas. L e juste équilibre, je le cherche tous les jours.

 

Certains hommes m'ont fait enormmément souffrir (c'est fou ce que ça fait mal, l'amour, j'ai eu plus mal que quand j'ailli mourir, et ce plusieurs fois.)

 

On peut tout faire par amour, les plus grosses bêtises, et ce doit être pour cela que les crimes d'amour sont moins punis que les autres.

 

Alors je me calme sur l'amour, je voudrais juste rencontrer quelqu'un de bien pour moi, tranquille!

En attendant, j'ai de grosses périodes de doute, car je vieillis, je n'ai plus trop confin=ance dans kes himmes, je doute, mais j'ai encore envie d'y croire.

Alors quand un vu=ieil ami insiste lourdement à boire un verre et me répète sans arrêt "xarmanta', que certains hommes font attention à moi, ça me rassure quelque part.

Mais bon.....Always alone!P1050084.JPG

 

 

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 14:35
http://www.youtube.com/watch?v=JIo3pvVu8R8&feature=player_embedded
Il y a tout juste un an, je discutais au téléphone avec celui qui me semblai être l'homme de ma vie pour son anniversaire. Je n'avais jamais aimé autant, tout nous rapprochait, nous nous ressemblions (même façon de nous comporter, de voir la vie, de ranger, de manger, de marcher, de parler,....), nos corps ne faisaient qu'un, j'étais prête à tout pour lui.
 
Encore une fois.
 
Dès que l'on s'intéresse un peu à moi, je fonce!
 
Je suis ainsi tombée sur un grand malade victime de l'abandon, avec qui j'ai eu 2 enfants (qu'il a abandonnés) , dont je devais être l'infirmière, la maman, la femme de ménage et le souffre douleur. 
Jj'ai divorcé avant de crever, car j'étais bien sur la voie.
 
J'ai été consolée par un homme plus âgé que je cotoyais au boulot, amoureux d'une midinette.
 
J''ai fini par lui céder, il était intelligent, pas jaloux, m'emmenait les week-ends où je n'avais pas les enfants faire la fête.
 
Un peu trop la fête, il était marié, venait en soirée, ce qui me frustrait, et me manipulait. J'ai bien des fois voulu le plaquer, mais j'étais une femme célibataire sans emploi et il me rassurait (mais n'allongeait pas de fric, se laissait rincer).
 
Quand il s'est installé de force chez moi, il m'a donné des forces pour affronter les problèmes avec ma mère malade, mes enfants en pleine adolescence, un manipulateur au boulot.
 
J'ai vite plongé dans la dépression.
Je ne comprenais pas pourquoi je n'avais plus la force de faire à manger aux enfants, m'occuper d'eux.
J'étais souvent en arrêt maladie. J'ai eu un concours, que je n'ai pas pu valider tellement j'étais perdue. J'ai voulu mourir.
Jj'ai été me réfugier dans une clinique, car je ne voyais pas d'autre issue.
 
Je l'ai plaqué et continué à le voir de temps enn temps en tant qu'ami.
 Il s'était installé  près de chez moi.
 
J'ai commencé à aller mieux et suis allée sur meetic.
 
J'ai rencontré un homme rassurant, intelligent.
 
J'ai cru avoir un coup de foudre.
Il s'est installé chez moi au bout d'un mois. Il était mytho, je l'ai vu dès le départ, mais n'ai pas voulu regarder et réaliser.
 
Bipolaire, manipulateur pervers, il a flingué ma vie, éloignée de tout et de tous: 2 ans d'arrêt maladie, des séjours fréquents en clinique, des médocs, la presque perte de mes enfants et de mes biens.....
 
C'est alors que j'ai rencontré Tom, par un hasard (le pervers voulait m'offrir à un homme et l'avait invité), qui m'a enlevée et réveillée.
Un homme très bien, vieux et marié.
 
Très bon amant, malgré un handicap qui faisait que son pénis ne fonctionnait pas bien, mais il a fini par réagir (acident d'avion, cela a été un miracle qu'il réagisse).
 
 J'étais très angoissée à l'idée d'aller chez Tom, de discuter avec lui, car nous n'avions rien à nous dire; il ne s'intéressait pas à ma vie, et la sienne me semblait sinistre, dans son "chateau" bien rangé, triste, calibré.
 
De plus, il voulait des expériences sexuelles que je ne souhaitais pas, j'avais déjà donné,.
 
Alors j'ai rompu (mais il me telephone toujours et ne lâche pas)
 
Au Maroc, en juillet 2010, alors que je ne pensais pas du tout à cela, H m'a attirée dans ses filets. Charmant, un coup de foudre immédiat! Une série de hasards fabuleuse, une reconnaissance mutuelle.
 
MJe lui ai juste donné mon msn, et, à mon retour, il m'avait demandée en amie et me faisait une déclaration d'amour, suivie d'un mois d'échanges intenses sur internet, suivis d'une semaine ensemble en octobre.
Une semaine fabuleuse!
Ensuite, il ne s'est presque plus manifesté, je l'ai vu à 2 reprises au Maroc, nous avons passé des moments merveilleux.
Mais il ne donnait quasiment pas de nouvelle.
Je l'ai appelé le 6 octobre 2011, il m'a demandé de garder des congés à Noël, et dit qu'il lui tardait de me voi.
Et, depuis, n'a plus répondu au téléphone, ni aux mails.
Et quand je me suis rendue dans sa ville cet été et que je l'ai appelé avec un numéro qu'il ne connaissait pas, il m'a raccroché au nez.
 
Alors oui, je me sens trahie, violée, utilisée.
Je ne parle pas des aventures que je peux avoir, mais de ceux qui m'ont déclaré leur amour.
 
Je n'ai plus confiance en moi, flashe sur certaines personnes et ne poursuuis pas en me disant qu'il n'y a aucune raison qu'ils s'intéteressent à moi.
Ils veulent du sexe, ne sont pourtant pas déçus, et repartent à leurs vies.
 
Je me demande ce qui cloche chez moi.
 
    Alors là je m'enferme de plus en plus; et je pense que j'avance, car j'arrive à faire du ménage, à virer des souvenirs inutiles. Car là je n'avance pas, je dois faire refaire mon appart, bouger, être utile à moi- même
eT il y a peu de moement pour cela, annihilier, oublier, effacer....cela se fait petit à petit....Mais là je crois que j'ai démarré, mais très doucement....Ma vie est un long bouleversement et c'est pour cela que je préfère parfois me replier. Je ne suis pas toujours prête à assumer de nouveaux chocs, et j'y suis confontée toute la semaine, dans mon boulot et parfois dans ma vie privée, qui, finalement, va devenir peau de chagrin.... 
 
Du coup, je me suis résignée ç accomplir ce que je fais petit à petit, le grand ménage. Je le fais dans ma maison e dans ma tête; mais ça prend du temps, trop de temps, je ne jette pas tout d'un coup. Mais c'est un début, et j'avance plus vite..... 
 
 

       http://www.youtube.com/watch?v=JIo3pvVu8R8&feature=player_embedded    

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 21:30

je n'ai jamais compris l'intérêt du poke; j'étais inscrite sur facebook depuis deux ans quand j'ai demandé à un ami de m'expliquer à quoi ça servait.J'en avais une vingtaine de côté, de gens que je connaissais, ou pas, qui étaient amis sur facebook  (auquel je ne comprennais pas tout non plus) ; il m'a dit que certains me draguaient, et que d'autres m'envoyaient des coucous.

 

Bon, J'ai répondu, et puis j'ai arrêté, car rien n'en découlait: Pas de prise de contact, pas d'explication au geste.

 

Un ami, serial poker, a commencé à indiquer qu'il allait poker sur son statut. Là, ça sentait,  la rigolade, j'ai adhéré; il m'a invitée à boire un coup dans une cave à vin, m'a embrassée, enlacée.....rien de plus; et a recommencé à me poker.

 

Je l'ai revu, il m'a caressé le dos, rien de plus, et a recommencé à me pker.

 

Là, il me poke de temps en temps.

 

Du coup, je regarde mes pokes et en renvoie certains, après examen du profil.

Je ne les demande pas forcément en ami, réponds juste.

 

Du coup, j'ai eu une conversation avec un jeune  artiste de Rabat, je me suis abonnée à un Poker qui me semble interessant (mais sans le demander en ami) et là, j'ai reçu ce message d'un poker:

euh ; merci pour les pokes Sophie ! en fait la question qui se pose cest °pourquoi on se "poke" ? ça sert a quoi un POKE° ?, En fait, je ne sais pas vraiment si quelqu'un le sait ! juste une maniere de faire coucou?,et qui a force, devient un jeu comme le ping pong.. a celui qui répond le plus rapidement ?
un son qui resemble au bruit que fait un gros bisou de tendresse sur la joue d'un ami que l'on aime tres fort d'une amitie veritable??? .je prefere faire des kilometres en train pour aller en coller des vrais moi...c'est tellement plus sincere 
Mais nous !! pourquoi on se Poke ? on se connait pas Sophie! alors pourquoi Poke° ?? poke° ?? haha une belle et grande tirade ...
Mais comme dirait lautre,le bonheur nest pas dans les grandes joies et les grands sentiments, mais dans les petits attachements et les petites choses! alors repokons nous !
artistiquement::
Simo

 

Je continue mon enquête sur le poke......

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1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 20:45

Depuis petite, je me souviens d'avoir aidé des gens, de toutes les façons possibles, leur sauvant parfois la vie.

J'en ai fait ma profession, apuyant ceux qui me le demandaient,  par le métier que j'avais choisi, journaliste (à défaut d'écrivain, ceci dit, si on regroupe les articles et mes carnets, j'ai un bouquin);

 

Je ne pense pas avoir eu trop de retours, ou alors je ne m'en souviens pas.

 

Plutôt des oublis une fois la chose réglée. Peut-être avaient ils honte de leur passé et voulaient l'oublier, ou, alors, le but atteint, ils m'oubliaient.

 

Quand j'ai été malade, et ce, plusieurs fois, le cercle des aidants s'est limité à ma famille.

 

Qui aide comme elle peut, mais il manque l'amitité et le regard extérieur.

 

Alors, quand j'ai failli perdre la vie et tout dans mon existence, que je m'en suis relevée seule, j'ai fait le ménage:

 

Plus de personne toxique: j'ai opposé une fin de non recevoir aux boulets, changé de numéro de télephone, me suis enfermée, n'ai plus vu personne.

 

Solution radicale.

 

J'ai recommencé à avoir une vie sociale avec mon groupe de bloggueurs, mais je me rappelle que je tremblais quand j'allais aux réunions. J'ai eu beaucoup de mal à retrouver une confiance dans les gens (En passant, j'ai eu quelques expériences douloureuses au sens propre comme au figuré avec certains hommes).

 

J'ai retrouvé une certaine confiance en moi, assez fragile, mais présente, et j'ai rencontré des gens extraordinaires (via facebook, mais si l'on s'en sert bien, c'est possible).

 

Je fais partie d'une association d'aide aux enfants pauvres du Maroc, je marraine 2 petites filles, je vais sur touds les terrains, là bas, et toujours tous les terrains, ici, quand il le faut, et surtout dans mon boulot.

 

J'écoute et j'achanhange avec des amis sur leurs problèmes. Mais quand ça tourne à l'obsessionnel, quand une amie de 2 mois fait deux crises d'épilepsie dans mon jardin, et que je passe ma soirée à lui insuffler de l'énergie, et me dit qu'elle va mal,quand la mère de famille qui arrivait bourrée il y a quelques années a retrouvé mon nouveau numéro de tel, je suis froide.

 

Il y a plus d'un an, j'avais invitée une "amieé, qui était tellement toxique, ne parlait que d'elle, que j'en avais fait une crise de tétanie.

 

Alors j'ai plusieurs demandes, je dis non.

 

Je vis avec des gens qui ont des problèmes, ont vécu des vies difficiles, mais nous partageons, allons droit dans la vie, comme cette personne extraordinaire, si douce, si belle et généreuse, qui a eu 3 cancers et n'a que 40 ans et qui a les yeux et le sourire de la vie.,, et avec qui j'aimerais encore faire la fête!

 

 Alors j'aide quand il le faut, je ne me laisse pas envahir

 

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Alors j'aide quand il le faut, je ne me laisse pasleslie-et-janis.JPG envahir

 

 

 

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