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12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 03:11

Grande sentimentale et sensible depuis toujours, j'ai rarement été épargnée;  la gente humaine n'a jamais été trop tendre envers moi, Je suis une cible facile.

 

J'ai essayé d'apprendre à recevoir les coups, à me blinder - histoire de survie_

J'y arrive mal, je tombe encore dans des pièges, m'angoisse pour un rien. Moins qu'avant, je le reconnais.

 

Je travaille sur moi quotidiennemennt pour tenir, vivre, profiter.

 

ça, j'y arrive à peu près.

 

Par contre, je n'exprime pas mes douleurs, quand je pleure, c'est une larme contre laquelle je lutte. Je ne veux pas voir, je fonce ou mets de côté.

 

Alors mon corps prend le dessus, et depuis enfant, je cumule les maladies, je prends ce qui passe, je développe des maladies congénitales (mon rein gauche, devenu un cas d'étude), je frôle la mort, je l'évite, je garde le sourire, je fais comme je peux.

 

Je m'isole pour éviter les gens toxiques, je sors pour en voir qui m'apportent, je voyage parce que ma vie est une découverte;

 

Je crois commencer à avoir une vie moins  sujette aux heurts, je m'y efforce, j'ai de nouveaux amis, mes enfants semblent trouver leur chemin, je suis un peu plus concentrée sur le quotidien (les papiers, les travaux de l'appart).

 

Et là, encore une fois, comme il y a deux ans, ça flanche.

 

Péricardite en 2010, un truc improbable découvert à l'occasion d'une radio des poumons, la crainte d'une maladie grave.

 

Là, depuis un mois et demi, une infection d la paupière, qui m'a mise mal sans se manifester: là c'est gonflé, et je suis vraiment malade depuis plusieurs jours, j'ai du mal à bouger, à manger; et les seuls amis qi se soucient de moi se demandent jusqu'à quand je vais tenir.

 

Et c'est vrai que je ne veux pas voir, pas faire les analyses, pas savoir, je fuis. Mais pas toujours, je me reprends, et cette fois ci, j'espère que ce ne sera pas trop tard.

 

Ma douleur de l'âme vient de cette histoire d'amour, où j'ai rencontré mon âme soeur, qui m'a fait croire qu'elle l'était.....et qui ne me donne plus de nouvelle depuis plusieurs mois.

 

Les hommes m'ont souvent fait du mal, mais là....je ne m'en remets pas....Et le corps l'exprime, à défaut de larmes....

 

http://www.youtube.com/watch?v=sKrcyEjsQqI

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 14:39

Mon amie Habiba Zougi  (poétesse marocaine de El Jadida)a expriné ceci:

Choisir un mot

Un simple mot

Pour tuer

Pour vivre

Choisir une ombre

Pour tuer les maux

Choisir une ombre

Une vague ombre

Pour s’y suicider

Ou y mourir

Mes  Maux

Me

Déchirent.

 

Portes Promises

C'est une personne que je ne connais que du réseau social Facebook, j'aime sa ville, et nous avons des "amis" en commun.Amis qui apparaissent, disparaissent, font souffrir, douter.

 

Nous avons en commun le fait de nous en prendre plein la figure, et de continuer à lutter, encore et toujours.

 

Nous nous protégeons, mais croyons encore aux promesses! Nous nous méfions de certains, mais nos "amours/ adversaires" sont à la hauteur de ce qque nous devenons: De plus en plus durs, car eux aussi frappés par les épreuves ou par la lâcheté.

 

 

Je lui ai répondu ceci:

 

 

 

 

Un mot pour penser, pour panser; choisir un soleil, pour s'y réchauffer, choisir un chemin, pour avancer; Mais: se nier pour oublier, se dire que tout n'est pas gagné et que tout peut évoluer, ne pas forcément sombrer...

 Au tac au tac.

 

Ce que je vois, c'est que j'ai des amis, de la famille, et que l'amour, ça paraît trop compliqué, alors quand je vois une trace de positif, je prends. Ce qui ne m'empêche pas d'avoir des idées comme celle de Habiba et d'avoir de trop longs moments de....

homme-face-mer.jpg

 

 

 

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 21:02

P1040396.JPGParfois, les nuages sont annociateurs de pluie et d'oraages, et, finalement, il n'en est rien. La pluie dure parfois longtemps, ou le froid, et l'on croit que cela ne finira jamais.

 

Le soleil perdure, notre humeur s'en ressent mais n'épargne pas les épreuves.

 

On ne sait jamais ce qui nous attend, le bonheur dans lequel nous avons baigné un moment peut cesser.

 

Alors on souffre, on se pose des questions, on se torture.

 

Le tout est de trouver le chemin depuis le noir, jusqu'à être en demi-teinte, et savoir déceler les belles couleurs dans son quotidien.

 

C'est difficile, la vie n'est pas tendre, mais il ne faut rien lâcher, savoir regarder et bien s'entourer; et ne pas lâcher les gens qui vous aiment.

 

Et surtout, se forcer parfois pour ne pas s'enfermer en soi.

 

Carpe diem.

(plus facile à dire quà faire,, certes!)P1040394.JPG

 

P1040402.JPG

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 20:55

algou--chemin.jpgUne façon un  peu barbare de décrire  la chose!

 

L"avantage de vieillir, c'est que quand on s'en est pris plein la  tête et que l'on a su rester en vie, on en a tiré des leçons, que l'on peut donner aux personnes qui en demandent. Qui m'en donnent en retour.

 

C'est ainsi que je suis parfois la seconde maman de jeunes ou de trentenaires, qui me demandent des avis sur tout.

Là, franchement, ça ne m'arrange pas, car je n'ai pas d'avis, pas de conseil à donner. Je doute, je me remets en question sans arrêt.

 

En terme de leçon, la seule que je peux donner, c'est "Ne fréquente pas de personne toxique, ne te tapes pas 3 chocolatines si ton foie est en berne, ou alors dans le cadre du boulot, des choses bien établies.

 

Donc les leçons sont plutôt des comportements, des écoutes, des empathies.

 

 

Una amie me disait" J'ai dit bonjour à cette fille fermée, très malade psychiquement et qui me fait un peu peur, elle a répondu et souri; tu crois que ça set à quelque chose?"

Oui, ça sert.

Elle sort de l'HP, elle essaie de se réadapter, son cas est désespéré, elle ne dit bonjour à personne, et là elle a une réaction.

 

Le jeune en service civil, qui ne parlait pas, complètement hermetique à tout, a trouvé sa voie en travaillant la plaquette de la structure, a adoré son engagement.

 

Le petit gitan homo viré de chez lui a réussi à s'en sortir car on l'a écouté, aidé à faire ses dossiers.

 

Par contre, quand on est sensible et à l'écoute, on est vite tiré par le bas.

Les manipulateurs pervers et autres égoïstes savent voir nos faiblesses et en profitent.

 

Ils promettent monts et merveilles pour nous aider, pour mieux nous étouffer. Nous sommes des proies, des défouloirs de leurs problèmes.

Ils nous rendent mal pour mieux nous annihiler.

 

Il y a aussi ceux qui ont simplement besoin d'utiliser leurs amis comme psys.

Et dans ceux qu'i y a à trier, il y a ceux qui viennent toujours à l'heure des repas, qui ont des besoins d'argent et du cul de la crémière.

 

Après une période d'accumulation de personnes toxiques, avec un ponpon sur le béret bien grave, je me suis coupée des gens, ai pris durecul, ai vu tout ça, et chez chacun.

Du coup, je n'ai plus vu grand monde.

 

Mais je me suis retrouvée un peu, me suis mise en avant, car toute ma vie j'ai entendu "occupez vous de vous", mais je ne savais pas faire.

 

 

Je ne sais pas si je sais faire, mais j'ai moins d'angoisses, je gère mieux ma vie quotidienne, je prends la vie en "carpe diem" et ça le fait.

 

Ma renaissance a commencé avec une infirmière comportementaliste qui m'a conseillé de noter ce que je faisais dansla journée, et de voir ce qui était positif.

 

Il y a beaucoup de choses positives dans une journée. Il suffit de les voir et de les apprécier.

 

Je me suis refait un réseau social par ce blog, en rencontrant les bloggueurs de Bayonne, des gens super. A l'époque, j'avais du mal à sortir de chez moi pour rencontrer des gens, je me suis forcée, et ça a été un premier pas vers ma nouvelle vie.

Il y a facebook, j'ai rencontré des gens extraordinaires qui m'ont donné le sourire, avec qui je suis devenue amie, encore aujourd'hui, une belle rencontre!

 

Alors, ce que j'en dis, c'est simplement qu'il faut trier, séparer le bon grain de l'ivraie (en se basant sur ce qui est bon pour nous)

Pour Leslie

 

 

 

 

 

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 20:38

Ma mère a toujours eu 10 ans; 20 ans; 40; c'est l"âge où elle s'est arrêtée.

Epicurienne, ne ratant aucune occasion de faire a fête et de rencontrer des gens, elle a vécu entre un le travail et la vie.

 

A  son anniversaire des 50 ans, elle a fait une crise de tétanie dès les premières minutes, et j'ai du gérer les invités, la crise de tétanie et les pompiers.

 

Petit à petit, elle a évolué, comme o doit le faire, et malgré les liftings, les fringues, le maquillage, elle a du s'y faire.

 

Elle a été jeune jusqu'au bout, et rien n'est perdu.

 

Elle a changé son regard sur le monde, a accepté que je sois amoureuse d'un marocain, a herbergé Iban à l'âge de 16 ans avec sa copine de 25 ans, est restére une "branleuse".

 

Nous avons été tous les dimanches à droite et à gauche, mangé dans des restaus insolites -, avons bien rigolé.

 

Mais là, depuis octobre, son arthrose, des médecins qui lui ont donné des médicaments non appropriés, c'est l'horreur.

Son cerveau si vif part en ficelle, elle ne nous régale plus de ses statuts sur facebook.

 

Sa terreur st de quitter son monde, nous faisons tout pour qu'elle ne le quitte pas.

Elle ne le quittera pas.

 

Mais tout nous échappe, copme un malaise quand nous ne pouvons pas quitter notre boulot, prenons ce que nous pouvons comme temps pour faire ses courses, et découvrons qu'elle n'a plus de carte bancaire.

 

Nous remplissons le frigidaire comme   nous pensons qu"il doit lui convenir.

 

Je l'appelle souvent: là, elle a eu un dimanche sombre. C'est ce qu'elle m'a dit de suite.

Il pleuvait. Elle était invitée ç une siirée et elle avait mal au ventre, donc elle n'y est pas allée.

Personne n'est venu la voir .

C'est compliqué, elle veut rester chez elle, ne veut employer personne, et nous travaillons, je bossais dans un bureau pour les élections. Et quand on l'appelle, tout va bien.

Elle a donc passé un dimanche sombre, comme nous le passons souvent.

 

 

  Il ya a la jeunesse d'esprit qui reste, le corps et le cerveau qui s'étiolent, et une certaine quinessence de soi qi demeure.

ama-lunettes.jpg

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 22:24

En mode positive attitude malgré tout ce qui eut arriver, j'arrive à slalomer en gardant la pêche et le sourire.

Pas de nouvelle de l'homme que j'aime? Dur à avaler, mais je vis quand-même, essaie d'avoir une vie sociale, vis ma vie et au boulot, ça roule.

Le chauffe eau en panne et  1500 euros à sortir? Je cherche des aides. Bref, C'est bien de positiver, mais il ne faut pas être imbécile quand-même.

J'ai de bons moments, je passe des moments agréables avec des gens, mais c'est rare. Je dois sortir des sous pour la chaudière, mais cela fait 2 mois que j'attends le devis, car il y a eu des petos. Je vis donc dans ma chambre avec un radiateur électrique, mais en ce moment, dès que j'en sors, ça caille. Les vitres sont gelées dans la cuisine et la salle de bains.

 

Fête de famille de Noël oblige, j'ai fait des cadeaux, pourtant hyper bien pensés, mais j'ai eu une panne de voiture, et j'ai eu un appel de la banque le 10.

 

J'arrive à gérer un minimum, car pour manger j'ai de l'imagination et des réserves (sur le corps et dans le congelo).

 

Ce qui m'attriste, c'est d'avoir quitté un salon une heure plus tôt car je n'en pouvais plus de ce chauffage, ordis, gens là pour leur pub et sans âme. Tout le monde pliait, j'ai pris la liberté de le faire: le grand directeur est passé 5 mpinutes après, et coup de tonnerre. Ma collègue m'a appelllée furax, et j'ai rencontré le big boss au lidl. Il n'a pas été méchant, mais je me dis que ma bulle cool au boulot va être claquée cette semaine.

 

Tout s'est accumulé, et j'ai une boule d'angoisse qui ne veut pas partir depuis hier, je suis sure que je me fais un autre ulcère; et je suis en non vie, bloquée, je ne dors pas, je ne mange pas, je ne pense pas, ou trop, je ne peins pas, je regarde la tv sans la regarder: un espace de non vie.

Il me tarde demain de m'en prendre plein la figure, mais que je règle le problème et casse cette solitude infinie et ce mal à l'estomac, empli de culpabilité et de problèmes qui ressurgissent et qui me renvoient ma situation de précarité; et le manque de moyens que je n'ai pas su me donner. Ou pas pu.

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 17:19

Depuis le mois de juillet, je néglige mes cellules grises. Je les fais travailler lorsque je lis ou écris, mais je médite et rêve plus que je ne réfléchis.

Le travail est devenu répétitif, il y a peu de nouveaux projets émergents.

 

Depuis quelques mois, je travaile avec le Conseil de Développement du territoire; à raison d'une réunion tous les 2 mopis où nous avons élaboré un site Internet pour les jeunes, dans lequel je vais être assez investie, disposant de beaucoup de données.

 

En janvier, on m'a demandé de relancer tout le dispositif projets jeunes, avec réunions d'information dans les lycées, campagne de communication, ey j'ai du mal à m'y mettre.

Je me suis dit que j'allais remettre lentement mais sûrement mes cellules grises en état de bon fonctionnement.

 

Toujours histoire de faire faire un peu de sport à mon cerveau et de me dynamiser avec des rencontres de divers partenaires professionnels, j'ai répondu oui à une réunion sur  l'emploi dans le quartier prioritaire, qui de plus est le mien.

 

Je pars à pied, me dis qu'il doit y avoir un raccourci  sans avoir besoin de contourner le lycée. Coupe à droite, influencée par une femme qui me suit et prend la même direction pour aller au marché du mercredi. Elle tourne à droite. Moi à gauche, juste là devant la directrice de projet et quelques personnes qui attendent dehors le début de la réuinion: problème: il faut escalder le talus détrempé pour rejoindre la porte d'entrée. Jetant un oeuil en coin, j'attends qu'ils tournent le dos pour entamer l'ascension.

 

Bonjour à tout le monde; directeur, directrice, président, présidente; chargé de mission, chargée de mission, on a fait le tour. Moi je donne juste le nom de la structure, il vaut mieux, bien que je côtoie la plupart de ces personnes depuis quelques années. Mais bon, animatrice bêta, ça casse.

 

Récupélatif de la dernière réunion où je n'étais pas (moi je ne peux pas m'absenter comme je veux en laissant du personnel!).

Panique:Je comprends vite que je me retrouve dans le comité de pilotage de l'emploi dans le quartier pour les 3 ans à venir! bip bip! Et ça parle globalement, pas d'exemple précis, et des ASUS, ANRU, CUCS, ACCES,....et que sais-je encore, qui fusent de partout! les politiques de la ville changent souvent, et les abrévations les accompagnent. Mias moi, je n'ai pas suivi, ce qui n'est pas bien, car si je veux être directrice, chargée de mission ou présidente, je dois redescendre sur terre!

 

Je trouve des astuces pour ne pas avoir à prendre la parole et acquieasce de la tête ux propositions. Au bout de 4 h, je suis épuisée, le compteur dans ma tête tourne à bloc, j'ai eu le temps de m'évader 2 mns!

Buffet encore plus somptueux que celui offert par 'ambassade de belgique au mazagan beach resort en octobre:

 

  brioches au foie gras, pains surprise au saumon et jambon, plats de viande et serrano, canapés, petites quiches aux légumes et fruits de mer, petites pizzas, ardi gasna et confiture, salades de fruits, gateau basque, bon bordeaux...."et ça ne coûte pas plus cher qu'un restaurant"! m'assène la ches de projet en enchaînant sur un: "quelle participation envisages tu pour ta structure dans ce ispositif?" qui me met soudain mal à l'aise! du coup j'avale une gorgée de graves avant de lui répondre qu'au vu de ce qui est présente, je vais réfléchir à des projets.

 

Mon voisin de réunion, un retraité qui aide bénévolement les gens à retrouver un emploi, a repéré la fatigue et la gourmandise, et nous partageons les infos sur les plats qui arrivent, au moins je rigole un peu!

 

 L'après midi, devant l'écran plein de pavés de concertations sociales et de solutions, de réflexions à engager, mes yeux ont commencé à se fermer, les neurones ont capitulé! j'ai bougé pour ne pas m'endormoir, croisé et décroisé les jambes, ai regardé l'assistance avec attention avant de fixer l'horloge,, jusqu'à ce que l'animateur nous somme de refléchir 5 mns à un projet concernant un thème et à l'exposer.

 

5 mns pour trouver une pirouette. Fin et suite, car je vais en prendre aussi pour une fois tous les deux mois pendant 3 ans, le réeil des neurones a été brutal.

je n'ai même pas eu a force d'aller faire mes courses beste alde!

 

 On va voir ce que ça donne, le réveildes neurones!

 

 

 

 

 

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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 23:51
Chaque année, le maire invite les officiels dans la grande salle de ports municipale et fait un discours d'une heure, reprenant le bilan de l'année et les projets, du genre:
Ikea, pas avant 2013, c'est long à faire aboutir, les landais ont failli nous le souffler, mais plus c'est long, plus c'est bon: 1000 emplois à la clé.
Pour la mega clinique Lafourcade qui a racheté toutes les cliniques sauf Delay, finalement, ce n'est pas fait.
Un agriculteur va être installé plaine d'Ansot et va cultiver des légumes biologiques.
Bayonne ville pilote pour les antennes relais: ce n'est pas nocif,le ministère l'a dit,  et ceux qui viennent gueuler ont le portable dans la poche.

(A ce sujet, voir l'article d'un copain chercheur au CNRS, qui, suite a des menaces, a du prendre sa retraite, au sujet des portables, en 2003; mais pour les portables, il va être difficile de réguler la chose)
http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/migraine/sa_6746_migraine_portable_02.htm

J'ai juste entendu ça, car nous n'étions pas assez en retard pour échapper à la remise des médailles.
D'en haut des gradins, les agents territoriaux qui avaient 35 ans de métier me paraissaient plus vivants que les attachées territoriales fringantes et sûres d'elles, qui avaient eu quelques faveurs de certains élus.
Et puis les bises à n'en plus finir à des gens qui te plantent dans le dos et propagent des rumeurs (où sont passées les précautions contre la grippe H1n1 affichées dans tous les bureaux?) dans la salle de vaccination.

Peu d'élus, d'ailleurs, au buffet offert pour les employés municipaux, vraiment pas au complet.

La lumière blanche destinée aux matchs de basket rendait les gns blafards et étonnamment morbides. La citrouille d'Halloween sur l'estrade de l'orchestre n'arrangeait pas les choses.

Une fois la foule agglutinée autour des verrines, coupes de champagne et petits fours (pour la réception, rien à dire) dispersée, on a pu assister au dîner spectacle, avec les tenues de réveillon, pailletes et cuir, bustiers et talons, chaines en or sur certains, tops transparents sur d'autres, sweats shirts jaunes, tenues diverses sur fond blafard.

Et puis l'orchestre, ses reprises, les filles qui dansent ensemble, .....

Cela faisais 10 ans que je n'y avais pas été, et cela m'a rappelé pourquoi!
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21 août 2009 5 21 /08 /août /2009 20:33
Mon petit gitan/ homosexuel a pris sa liberté à ses 19 ans. Viré de chez ses parents par son grand père évangéliste, il a certes passé par la case gigolo, mais pour peu de temps. Il a trouvé un boulot de plongeur, un appart sympa à Biarritz  (calme, avec une cour, et équipé), et a fait comme tout jeune ne se doutant pas que le salaire sert aussi à payer des charges, claqué son salaire en fringues et déco.

Il a donc connu son premier découvert monumental et a perdu  10 kilos. Les repas pantagruéliques de maman, de ses saoeurs et d'Amatxi ont été remplacés par des heures de marche et des rencontres dans les lacets du Phare.

Des expériences d'homo, normales selon lui, friendly.


Mais l'été, on a de tout, et notamment des cons anti tout et anti hmos, qui sont venus au phare casser la gueule aux pd, et l'ont laissé à moitié mort dans un buisson. Il a porté plainte, mais le dernier cas à Biarritz  ayant été révélateur (même pas de garde à vue), il sait à qui s'en tenir. Il a une volonté de fer, sait ce qu'il veut et y arrivera.

le fait d'être gitan et d'être homo, sujets de haine chez certains.



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12 août 2009 3 12 /08 /août /2009 21:47
Je l'avoue, je regarde pas mal la télé. Sans la regarder, parfois. Ce n'est pas une habitude de femme seule, je le faisais quand j'étais mariée. Par contre, quand j'étais à la communauté de l'Arche, je ne l'ai pas regardée pendant 6 mois: je tissais la laine et ramassais les fleurs.
Là, on est ailleurs, je regarde les émissions culinaires, et j'aime bien "petitrrenaud" sur la 5 le dimanche à midi, le "globe cooker" sur canal plus, "fourchette et sac à dos" sur la 5. Je n'ai pas le temps de tout regarder, mais sur paris première ça passe en boucle avant le boulot, c'est la chronique de Ftancçois Simon.

Ses recettes sont nulles, il fait un smoothie avec des carottes du supermarché sans les éplucher, donne des recettes avec des oeufs du supermarché du coin, et trouve qu'une part de tian de légumes vaut 16 euros.Pourquoi pas?
 Je dis: convertissons le au naturel!

http://francoissimon.typepad.fr/simonsays/mes_10_tables_du_moment/A part cela, je résiste bien aux ceintures vapeur qui enlèvent les points noirs et la graisse, ausx ordinateurs miracle qui te trouvent un super mari en deux clics, et je vais au marché où la poissonière, le petit vieux à béret et l'agriculteur rigolent avec moi et me conseillent leurs meilleurs produits.

François, tes oeufs de supermarché ça casse tout, moi, j'ai une plume, dessus.
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