Je consulte peu ma messagerie téléphonique, il y a souvent des choses qui fachent.
Je viens d'écouter.
 La nuit est sujette à beaucoup d'audaces, dont celle d'écouter son répondeur, peu consulté, et en tous cas, pas depuis vendredi.
Hormis les délires de la voisine ("votre volet n'est pas fermé, ça va me tuer, et mon fils, et les gens dans la rue,...il y a du vent, avez vous regardé la météo?..."). plus de nouvelles depuis, et je suis au dessus, pour plus d'informations, mais les gens ne sont pas simples.
Je rassure tout le monde, je ne vais tuer personne à coup de volet, et d'ailleurs, ce ne sont pas des volets, mais des contrevents. demandez au dictionnaire et à mon amoureux. (qui est un dictionnaire en lui même, il parle latin in the texte).

Ma mère a appellé. Elle avait besoin de moi, et je n'ai pas répondu. je ne peux pas l'appeller, on est dans le noir. C'est la nuit, et je me réveille, je suis malade.

Jeanine est morte; ma mère flippe, elle a son âge. Et ce n'est même pas ça.
 Actuellement, on est frileux sur l'amitié, on en a peur, et c'est normal.
J'ai vécu de vrais chagrins en amitié, des déchirements, même. Actuellement, l'amitié n'existe que par petites parcelles.

Quand je vais chez ma mère, j'aime me plonger dans ses albums photo, et je rigole en voyant ses délires:
Faire un concours pour "Elle" et tracter la voiture en haut de la maison, improviser un gouter pour 15 gamins dans une austin et fêter mon anniversaire au milieu avec un gros gateau.
Janine, qui vient de mourir, était une de ces amies. Elle a déliré, aussi, mais un peu trop: A cette époque, on fumait et buvait avec une exagération folle. 
Suzy, la fille d'henri Grenet, la copine de ma mère et de janine, s'est éteinte jeune.
(trop de clopes, trop d'alcool, les filles). mais suzy était super.

Ma mère a 78 ans, et pense à sa mort. Autour d'elle, tout s'éteint.

Qui y pense?

Ces femmes super, qui ont contribué à faire que le sourire féminin existe encore.
celui que je donne quotidiennemtdu boulot: il y a beaucoup de mecs pour peu de filles
mais ils sont où, les mecs?

J'en ai un, ouf.

Mais janine...
Déjà, elle faisait tache, elle habitait st  esprit. Pas cool pour les bourgeois des arènes.
Son mari, médecin, fumait clope  sur clope dans son cabinet.
Quand j'allais en consultation chez son mari, il clopait et me faisait une consultation expresss à la radio: je toussais en envoyant l'afp, il m'attendait avec la clope.
Après: tu as l'air mal.
vous m'avez entendue, aux infos?
et son fils, il est psy, il a du boulot, il ne peut pas recevoir, il a trop de t   af0.

Alors, je la connaissais, je la voyais, et je n'ai pas pas remonté ces moments dans sa ....
elle le gardera pour elle.

comme beaucoup, coût de la vie oblige, je ne vais pas souvent au restau. Mais j'aime ça! Et quand j'y vais, je tiens à ce que ça vaille le coup.
Alors, des plans, bons .
Et il y en a d'autres, mais je dois être invitée par...pour les connaître.

Je commence par celui qui est le plus discret, mais pas le moindre: le restaurant du cfa, place Paul Bert. Il faut réserver, et on ne fume pas. Mais même moi, j'y arrive!
Pour 11 euros, on mange du gastronomique, genre côte de boeuf, gambas, merlu, avec un service digne des plus grands restaurants.

 Coup de coeur:
J'ai ADORE la rôtisserie du roy Leon, depuis que ça a été repris:
Le cuisinier et patron est le chef. Il n'est pas le genre à frimer, dit bonjour à tout le monde, est habillé comme tout le monde. .
En cuisine, il fait le spectacle. Il et tout à ce qu'il fait, et comme la cuisine est face à nous, on le voit.
Là, il ne dit pas bonjour. Il est tout à son art, rôtit, fait griller, nappe, c'est un chef d'orchestre.
 le décor est d'un goût exquis, et dans les toilettes, on peut lire un livre de cuisine.
Du classique revisité, des nourritures de terroir bien accomodées, et pas de la nouvelle cuisine. Une cuisine nouvelle, car bien améliorée avec nos connaissances de l'art des mets.
A la carte, on s'en tire, et au menu aussi: 30 euros entrée, plat, dessert. Et si on veut du vin, il y a en a de bons. Et ne lésinons pas sur les apéros et digeos du chef, c'est sélectionné.
(je ne connais pas, mais je passe souvent souvent devant, et je regarde la carte. Mais j'y ai mangé, notamment la daube de gésiers.
Rue de Coursic, dans le Petit Bayonne.

Manger simple et sympa:
Alors là, il y a le choix, mais je n'en connais que peu, et souvent par des avis extérieurs (mais mon avis extérieur préféré est une gourmande).

Le cappadoce, rue sainte Catherine.
D'abord, il y a le côté sans chichi: une déco maison, des patrons accueillants et sympas, on se sent bien.
Une assiette bien garnie pour pas cher, et c'est bon. L plus: les végétariens ont leur plat, et le thé à la menthe est bon. C'est un restau turc, un vrai, et Chris, la cuisinière, a tout compris de la cuisine locale.
smile en plus! et pour 8, 50, tu n'as pas de petit creux dans l'aprem.

En ce moment, je marche pas mal (problèmes de voiture et kilos des fêtes)
Alors, je remarque!
Les menus sympas au Jean Jaurès, boulevard Jean Jaurès. Original, fin, pas cher. Dommage que je n'aime pas cette usine à clopes, bière, tickets de loto, journaux et accueil limite. (on ne peut pas vendre 3 tickets de pmu et sourire à un pauvre acheteur de timbre).
 
En poursuivant, je passe devant Dalat (j'habite st esprit).
Ces vietnamiens ont eu des problèmes, leur boutique a brulé, booulevard Alsace Lorraine.
 Et beaucoup de monde les a soutenus. Ils ont donc remonté une boutique plus loin, et c'est bien.
On y trouve des plats à emporter bons et pas chers, et ils ont un menu sympa.
Les nems sont bien croquants, et les rouleaux de printemps impressionnants. Et c'est bon!
Ils ont eu l'appui du quartier pour remonter leur boutique, ça commence à marcher, et tant mieux!


Le guernika, place st andre. on peut tomber sur le menu garbure et civet de chevreuil, 10 euros.
Le moka, place st andré: des plats sympas et simples et pas chers.
Le café des sports, plat du jour sympa.

Et puis....
Le talotegi! pas cher, efficace, sympathique, mais il faut qu'ernest, l'homme au béret, soit là pour tout!
Chiloa Gurmentia, en face de chez Ernest, rue des tonneliers: bonne cuisine basque, pas chère, mais c'est bon et consistant.

Medina txiki,
 pour le décor et certains plats, comme le tajine au confit de canard.
J'y suis allée plusieurs fois, j'ai trouvé bon, le décor est chaleureux, mais j'ai manqué d'humanité dans l'accueil.
J'y ai été pour mes 2 anniversaires, et je n'ai pas osé le leur dire. froid!

Donnez moi des plans!

Nôël, fête de la famille et de la consommation.

La plupart des gens n'a pas de famille et pas de fric, et ça finit par une soupe et une bouteille de quoi que ce soit devant les programmes - Ôcombien fades- de la télé. des larmes et un grand sentiment de solitude, quand les voisins s'amusent.

Et le lendemain? Les familles qui trestent les cadeaux

tous les jours, on en voit de drôles, dans le petit bayonne. Certes, ce quartier est très pittoresque et attachant.associatif, commerçant, artisanal, pauvre, étudiant

IL y existe un climat assez spécial. Température.

commerces:

Josyanea coiffeuse, rue Pontrique . les petites mémés du quartier qui viennent raconter les po lins. Josyane a toujours le sourire, même si il est parfois figé.

René, le matelassier, qui avait son atelier rue du Trinquet, et qui ne peut se résoudre à abandonner son métier - toute sa vie -et qui a repris un atelier à titre personnel. Pour ses enfants et petits enfants. Sa barbe blanche, sa créativité et sa gentillesse lui ont toujours valu une popularité sans nom.

Ernest, l'homme au sourire perpétuel malgré les galères, son grand béret noir et son accueil plutôt amusant. un vrai basque, u n vrai décor bazsque, et des platts typiques et oubliés à des prix doux.
 talotegi, rue des tonneliers

Komodo, pour trouver des créations made in london, tibet, allemagne and co. un bar à tee shirt, et des collants délirants dénichés à londres. un peu cher, mais la laine vient d'himalaya et les collants de london, alors,...il y a toujours un chien sympa avec lui.

En face, il y a le four à bois. Moustic de Groland y va, et ce n'est pas le seul! a midi 20, prends la baguette chaude"!

Pour les médocs, la pharmacie gentil. tu prends ton pain - j'oubliais le pain paillet, une merveille-, tu traverses, et ils prennent le temps de tout t'expliquer. Gentils, ils le sont!

Quand on a FAIM: chiloa gurmentia, en face de chez Ernest: des menus pantagruéliques et bons pour 10 euros, et Annie, la patronne (un mètre soixante et des kilomètres de volonté) est très sympa

Miura,Tellechea, La Grange, je n'ai pas testé, mais il paraît que c'est bien. Au cheval Blanc, il y a un service voiturier.

Par contre, j'ai testé le centre de formation des apprentis, place Paul Bert, c'est très bien. Tu ne peux pas fumer, mais tu te régales pour 12 euros. le 20 décembre: buffet de fruits de mer, poisson, dessert.

Une envie de chocolatine?
Va chez Bamas, le chocolat est à tomber, et les petits gateaux sont des oeuvres d'art. Si tu n'as pas beaucoup  de sous, prends la choco. si tu as quelques euros, prends un gäteau.  On te raconte toute la composition du gateau, c'est du grand art.
La chocolatine est ....moëlleuse, fondante, gouteuse. et elle est au prix de la chocolatine sèche, fabriquée avec de la margarine et du cacao 1er prix!
Le genre qui nous a déconnectés de ce gôuter de choix.On choisit la chocolatine Bamas, tant à prendre des calories.



Café Salud, pour les cocktails, le décor et l'accueil. Rue Pannecau.
Le p'tit pub pour l'ambiance, asssurée par une bonne équipe.
rue des    Tonneliers
Les bons bouchersIl y a Auguste, 2 mètres, quelques kilos, et un coeur très profond. Qui s'est battu avec  Jean-Baptiste pour monter sa société.
La daube cuisinée avec amour du samedi était un bonheur.Mais Jean Baptiste s'est suicidé. Alors, on va chercher des rognons confits, des petites choses chez cet homme discret, mesuré" et parfait. Allez y!

 Chez Massonde
ents, mais ce qu'il a est
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